Augmentation des impôts en Israel en 2020 !
Suite aux dernières élections, peut on s’attendre à une augmentation des impôts en Israel en 2020 ?
On le dit depuis plusieurs mois, les caisses de l’Etat d’Israel sont en déficit. Et comme toujours, ce sont les contribuables qui risquent d’en payer les frais.
Nathaniel Dray, du cabinet Dray & Dray – Cabinet d’Expertise Comptable en Israël. présente les différentes possibilités qui s’offrent au fisc israélien pour augmenter les impôts en Israel en 2020 au micro de la radio publique israélienne Kan, par l’intermédiaire de Yoram Salamon.
Podcast – Augmentation des Impôts en Israel en 2020:
- Les causes du déficit fiscal en Israël en 2020: situation géopolitique, élections…
- Pourquoi les impôts n’ont ils pas été augmenté avant ?
- Le nouveau gouvernement n’aura pas la tâche facile ? Ou pas !
- Qu’est ce qui va changer en 2020 ?
- Les revenus passifs et actifs visés par l’augmentation.
- Impôts actifs: revenus des particuliers et des sociétés.
- Impôts non appréciés par le grand public : Le Maam (TVA en Israël).
- L’augmentation de l’imposition sur les sociétés est plutôt bien vu par le grand public mais risque de générer une inflation et donc une hausse des prix en Israel.
- Une promotion sur la distribution de dividendes en Israel (comme en 2017) ?
- Où se situe l’impôt israélien par rapport au reste du “monde occidental” ?
- “L’économie partagée” (Airbnb, Booking, UBER) dans le viseur de l’administration fiscale israélienne.
- Vers une obligation de déclaration pour tous les contribuables, comme en France ?
Vos interrogations – Nos conseils
- Comment déclarer vos revenus partagés ? (type Airbnb, Uber, vente en ligne, Fiverr etc…).
- Comment le fisc israélien peut il repérer si vous avez des revenus partagés ?
- La prime du Maanak Avoda en danger ? Est ce que les personnes à faibles revenus devront eux aussi participer à combler le déficit de l’Etat ?
- Autres possibilités qui s’offrent au fisc israélien: annulation de la TVA à 0% à Eilat ou pour les services hoteliers, TVA à 0% pour les exports de marchandises et services remis en question, baisse des aides sociales etc…